Cela faisait peu de temps qu’Alec avait perdu son maître à la suite d’un attentat réussi de rebelles. Il n’était ni bon ni mauvais, c’était quelqu’un qui faisait ce qui avait à faire et ne se préoccupait juste de nourrir et héberger ses esclave comme il faut pour qu’ils puissent le servir avec un maximum d’efficacité. Malgré tout Alec l’aimait bien et prenait tout de même plaisir à le servir. Malheureusement faisant parti des nobles, il fut tué. Les actions des rebelle, Alec n’en avait que faire, il se contentait de servir ses maître et rester en vie, il ne se mêler pas des affaires des autres.
Ce soir là Alec avait été amené et habillé depuis son cachot pour organiser et servir pendant la réception des vampires. En effet n’ayant plus de maître il avait été mis au cachot en attendant d’en trouver un nouveau. Heureusement ces année de servitude efficace lui avait permis de sortir rapidement, bien que temporairement, de sa cage. En effet, notre esclave avait une bonne petite réputation parmi les vampires. Ainsi donc comme nous le disions Alec avait été choisi avec d’autres esclaves d’organiser et de servir la réception de la haute société vampirique. Ainsi la réception fut organiser façon renaissance, avec un festin digne des dieux. Une fois les invités arrivés il les accueillit avec trois autres vampires pendant que les autres s’affairaient à servir les coupes de champagne et commencer à faire des rondes dans la salle auprès des invités. Après avoir accueilli tout le monde, il se posta dans un coin prêt à recevoir un ordre. Il observa la fête et remarqua que tout avait l’air parfait, le buffet semblait satisfaire les invités, aucun accrochage dans le service, les nobles semblait s’amuser, véritablement parfait. Du moins jusqu’à se qu’il remarque un détail louche.
Quatre domestiques s’était mêlés aux autres et leur tête ne lui disait rien. Ils furent d’autant plus louche en se regardant tous les uns les autres semblant avoir quelque chose de mauvais derrière la tête. Alec demanda tout de même confirmation à l’un de ses collègues, qui confirma ses doutes vu que lui aussi ne les avait jamais vu. Il ne savait pas quoi faire sur le coup. Attendre qu’il passe à l’acte ou gâcher la fête et prévenir un responsable au prix de se faire punir. Il se décida à allez voir le premier noble qui lui passait sous la main. C’était un noble qui avait l’air arrogant et ne laissais pas l’impression d’être doux.
- Monseigneur… puis je vous déranger ?
Le vampire lui envoya un coup du revers de la main avant de lui répondre d’un air menaçant.
- Tu ne vois pas que je suis occupé stupide esclave ? Tu as intérêt à avoir une bonne raison si tu ne veux pas finir en nourriture.
- Toute mes excuses monseigneur, mais je me dois de vous avertir, vous et vos convive que quatre personne louche se sont introduite parmi le personnel.
- Que dis-tu ? Tu pense donc que des rebelles attenteraient à ma vie ?
- Oui seigneur, ainsi que toute la noblesse dans cette salle.
- Va t’en esclave, la sécurité est trop importante pour que cela arrive, et il faudrait, de toute façon, être fou pour en vouloir à ma vie, tu me fais vraiment perdre mon temps, mais rassure toi je veillerais a ce que tu en payes les conséquences.
- Oui monseigneur, toutes mes excuses.
C’était mauvais, il ne pouvait pas déranger tout les nobles, il finit par trouver un garde prés de l’entré à qui il expliqua tout. Au début sceptique finit par allez chercher du renfort et en toute discrétion arrêta les dénoncés. Il trouva cette fin pour les rebelles un peu idiotes. Ils avaient réussi à passer la sécurité et se font avoir par un simple esclave. Alec pensait de toute façon qu’il valait mieux ne pas défier les vampires. Par la suite le noble qui ne voulu pas croire Alec se prit un avertissement des plus hauts dignitaires, bien que cette nouvelle ne s’ébruita pas chez les vampires, mais comme les esclaves se disaient tout, l’info a vite circuler parmi eux. Pour ce qui est du cas d’Alec après la fête il retourna en cellule le temps qu’un nouveau seigneur le prenne pour serviteur, cela pouvait prendre quelques heures comme des années mais sa, seul l’avenir lui dirait.