Tout était pour le mieux dans le meilleur des mondes…
J’étais essoufflé, Ma princesse était étendue à mes cotés. Cette garce avait encore abusé de moi, je lui avais pourtant bien dis qu’après un aussi bon repas je n’étais pas complètement apte à ce genre d’acrobatie ; Mais elle avait insisté. Comment résister à ses petites mains ce promenant sur mon beau corps viril ? Rien que d’y penser j’en éprouvais encore des frissons d’extase. Cette fille était folle, elle m’avait fait subir des choses dignes de damner un saint. Elle avait prit le pouvoir et sans me laisser le temps de réagir elle m’avait dominé toute la nuit… Ou presque.
J’en avais l’esprit embrouillé et toutes notions temporelles m’avaient déserté. Elle m’avait vidé de toute substance vitale et j’avais la très nette impression que jamais ma vitalité ne pourrait s’en remettre.
Et ma furie de femme ? Elle rayonnait fière d’elle… Dans la lueur du matin elle était plus lumineuse que le soleil lui-même. Elle ne semblait pouvoir s’empêcher de sourire. Je n’osais la toucher de peur de réveiller en elle la bête sauvage qu’elle était. Je ne pourrais survivre à un N ème viole… Elle s’étira telle une chatte…
Lily *
Tu n’as rien remarqué ? *
Wyatt *
Si… C’est étrange… Tes nibards ! Ils sont énormes !!! *
Jamais je n’avait vu ma femme avec de tels seins, j’avançais la main pour pouvoir les toucher. Avant même que mes doigts n’atteignent leurs cibles, elle la repoussa violement.
Lily *
Wyatt, je crois que c’est un garçon. *
Wyatt *
C’est anormal d’avoir d’aussi gros… *
…
Wyatt *
Quoi ??? *
D’un bond je sorti du lit. Le ciel me tombait sur la tête et mon cœur eu des ratés… Quant à ma déesse ? Elle me regardait, souriant tel un ange… Tellement lumineuses, j’étais obligé de plisser les yeux
Wyatt *
Mais c’est merveilleux… Je vais prévenir m’man de suite elle va être si… M’man ??? *
La réalité me rattrapait.
Ma mère était morte, jamais elle ne connaitrait mon fils…
Mon fils… J’essayais de regarder Lily mais elle était faite de lumière et cela m’aveuglait.
Puis l’obscurité se fit peut à peut… J’étais seul, enveloppé de néant et il faisait froid, tellement froid…
…………………..
Wyatt «
Reste là… J’ai froid… »
Je marmonnais dans mon sommeil, cherchant les couvertures d’une main. Sans vraiment savoir ce que je faisais, je les retrouvèrent et je m’enveloppa dedans. Je n’avais qu’une envie en tête, retrouver mon petit coin de paradis. Retourner dans ce monde où ma mère était encore en vie et où j’étais désiré par ma…
Cesse tes conneries, cela n’est possible dans aucuns mondes parallèles.
Lucy *
Mais moi je suis là…*
La belle lucy me faisait face, portant pour seule tenue un petit tablier. J’essayais de la sortir de ma tête. C’était Lily que je voulais, pas n’importe quelle femelle prête à n’importe quoi pour que je les fasses jouir un coup.
Lucy *
Wyatt tu sais très bien que ce que je veux c’est te donner un fils… Le plaisir n’est qu’un à coté. * Je me détournais d’elle ; Mais ses mains chaudes m’attrapèrent par les épaules. Me forçant à faire lui faire face, telle une chienne en chaleur elle frottait tout son corps contre moi. La tentation était si grande…
Avec force, je la repoussai. L’envoyant valser dans le néant.
J’étais de nouveau perdu dans l’obscurité froide de ma solitude. Perdu entre réalité et rêve… Je marmonnais essayant d’invoquer de nouveau mon premier rêve. Mais, il me fallait une couverture affin de ne pas mourir de froid. Soudain j’avais de nouveau de quoi me couvrir et…
Sentant mon cœur s’affoler, je n’osais bouger de peur de perdre cette illusion. Elle était là, perdu au milieu des couvertures, nue telle un ange tombé du ciel. Je n’osais la regarder de peur qu’elle ne disparaisse, de toute façon je sentais son odeur, je savais que c’était elle. Ces cheveux chatouillaient mon nez… Nous étions allongés et elle était sur moi…
Wyatt «
Je savais que tu n’étais pas partie loin, tu ne peu me résister. »
Il ne fallait pas qu’elle parte, non pas cette fois. Elle était à moi, rien qu’à moi et elle n’avait pas le droit de m’abandonner une deuxième fois… Refermant mes bras autour de son petit corps, je la serrais très fort affin qu’elle ne se volatilise pas. Non, cette fois si je ne la laisserais pas disparaitre.
Je ne pouvais rester de marbre face à un tel rapprochement et le plaisir se transforma petit à petit en désir… Je sentais ce dernier grandir, il pulsait tels les battements de mon cœur, impétueux, indomptable, incontrôlable. J’étais maintenant trop à l’étroit dans mon propre corps et mon désire ne faisait ne semblait vouloir s’arrêter d’enfler.